vendredi 9 mai 2014

A table la névrose guette....

Vive les bons repas entre amis....
on picore, on picole, on mange comme des cochons en refaisant le monde et, accessoirement en taillant quelques costards à nos connaissances communes.
Tout est bien dans le meilleur des mondes.....enfin presque !
mais ça c'était avant....avant le drame.
avant de connaître les véritables attitudes "nutritives" des mes invitées.....et pour le coup, je parle au féminin, car, force est de constater,
femmes + bouffe = chieuses au tournant.


hop, hop, hop, halte à toi MLF, attend, je commence juste, laisse moi t'expliquer avant de me brûler le string sur la place publique.



Elles sont belles, mignonnes, sympathiques, voir intelligentes (arrgghh) et pourtant elles ont, pour quelques unes d'entre elles seulement, un gros problème existentiel: le "j'aime pas ci, j'aime pas ça"....
Comme je suis quelqu'un de posé, de calme, d'attentionné (hum je m'aime trop fort),
je souris, compatis, puis au bout de 4 secondes je n'en peu plus,
tel feu "Moundir" dans kôh lanta, je craque.
C'est quoi ton problème ?
pour certaines, c'est la viande (cas majoritaire) et pour d'autres le ou les fromages.
Sur ce coup là, j'aurais bien partagé ma chronique avec Françoise Dolto.
"alors fifille, on veut pas manger la petite vache ou le petit cochon ?"

Je l'ai tourné dans tous les sens, d'où peut venir une telle aversion purement psychologique.
J'ai retenu 2 origines. la première remontant, comme de coutume, à l'enfance, ou la gamine a été forcée de mangé de la viande...jusqu'à l'écoeurement, ou bien, la névrose compulsive de l'un des parents a été naturellement transférée. J'ai horreur de ça et donc, toi aussi, tu n'aimeras pas...
Car lorsque l'on gratte un peu le problème au travers de quelques questions nonchalantes, on s'aperçoit que souvent ce blocage n'est même pas une question de texture, de goût ou d'apparence, tout se passe dans la tête et les victimes ne sont jamais très loquaces.
Soyons philosophes, il faut savoir respecter les goût de chacun.....quitte à pourrir une bonne soirée.
Car si par un malencontreux hasard vous réunissez deux pintades à tendances phobiques, pour le chef en cuisine, c'est-à-dire moi, c'est le début du commencement de l'enfer ! (obligé de travaillé avec des chaussure sans lacet pour éviter de me pendre tout de suite)
C'est clair, il y a un méchant créneau à prendre pour tous les spécialistes des thérapies comportementales, voir même du business pour les marchands de poudre de perlinpimpim.
Quant à moi, je ne peux m'empêcher de faire des parallèles tordus en me disant que si elles sont aussi chiantes au lit qu'à table....ça ne doit pas être la fête du slip tous les jours !


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